20minutes (19-08-2013)
Le magicien Alain Marra a bluffé tous les artistes
Le manipulateur de cartes a réalisé des tours incroyables sur le plateau de la Rock Oz'TV à Avenches. La preuve en vidéo.
«Je suis tellement concentré que je ressens la même pression si la personne en face de moi est célèbre ou non», a expliqué le magicien neuchâtelois, qui a entourloupé tous les invités de la Rock Oz’TV.
L’incroyable manipulateur de cartes avoue exercer sa passion depuis longtemps: «J’ai reçu une boîte contenant des tours de magie à l’âge de 6 ans. Mon plaisir? Réinventer les tours qui étaient proposés pour les rendre plus complexes.» Cet automne 2013, Alain Marra sera en tournée en Suisse romande et ailleurs si l’occasion se présente: «Ce n’est pas facile de vivre de cet art, qui séduit autant qu’il effraie.»
L'Express (27-08-2008)
Alain Marra, un Neuchâtelois à l'avenir plus que prometteur.
Il va sortir son premier single et est en train de se faire une place dans le showbiz parisien. Mais avant d'y arriver, Alain Marra, qui habite Peseux, a galéré.
«Sur les papiers, j'ai 29 ans, mais dans ma tête, j'en ai bien plus!» Quand Alain Marra raconte ses presque trente ans d'existence, on se dit qu'ils pourraient déjà faire l'objet d'une biographie bouleversante. Mais peut-être vaut-il mieux attendre de voir cet habitant de Peseux grimper «les trois dernières mais plus périlleuses marches», comme il les décrit, de la célébrité.
Après des années de galère, Alain Marra - qui a pris pour nom d'artiste celui d'une mère dont l'absence reste une inguérissable blessure - s'apprête à sortir son premier single, «J'suis fou oh never mind». Il devrait sortir, début octobre, sur les ondes. Parallèlement, cet artiste planche sur un album et vient de tourner le clip de sa première chanson, à Paris, entre Montmartre, le pont Sully et le théâtre de Dieudonné, la Main d'Or. Un clip réalisé par Christian Estevez et coproduit par François Ndour.
«En bossant huit heures par jour, j'ai fini par trouver mon style, un mélange de funk et de variété française sur fond de gospel que je nomme "swing crooner.» Et Alain Marra d'expliquer. «J'aime la musique, qui donne la pêche aux gens. La vie est suffisamment dure sans que l'on chante encore tous les chagrins et misères du monde!» La vie, justement, n'a pas épargné l'écorché vif qu'est Alain Marra. Il affirme pourtant l'aimer. L'avoir toujours aimée malgré les portes claquées, malgré les doutes menant au fond du gouffre, malgré la faim qui tord l'estomac. La musique, sa «compagne», l'a aidé, elle qui coule dans les veines de sa famille. Sa mère était chanteuse, son père, Jacky Courvoisier, accordéoniste d'Arlette Zola, et son frère Thierry joue de la batterie. Autodidacte, Alain Marra s'essaye à 6 ans à la magie et à 13 ans à la batterie. «Gamin, je me produisais sur des terrasses avec mon père et mon frère». Dès ses 20 printemps, il commence à taper sur un piano sans jamais avoir appris à lire une partition. Il s'immisce alors dans le monde nocturne des pianistes de bars.
Peu à peu, il accompagne de paroles les mélodies qu'il interprète. «A force d'être complimenté sur ma voix, alors que je me considérais comme un simple pianiste, je me suis dit qu'il fallait tenter quelque chose.» Encouragé, comme toujours, par sa meilleure amie, Alain Marra se rend, en 2005, au Festival de Cannes. Alors qu'un soir il se met spontanément à chanter sur une terrasse, il se fait remarquer par Luc Plamondon (Starmania, Notre Dame de Paris) qu'il reverra quelque fois par la suite, à Montreux. «Ce fut un phénomène déclencheur. Je me suis dit qu'il fallait me lancer.»
Nul n'étant prophète en son pays, Alain Marra commence alors les allers-retours entre Neuchâtel et Paris où, deux ans durant, il frappe aux portes en vue d'approcher producteurs ou autres arrangeurs qui lui permettraient de lancer sa carrière. Mais à peine ouvertes, les portes se referment. Un jour pourtant, Roger Loubet, arrangeur de Michel Sardou et de Johnny Hallyday, ainsi que Patrick Sigwaldt, arrangeur de Manu Dibango s'intéressent à sa voix et le prennent sous leur aile. A partir de là tout s'enchaîne très vite.
A quelques semaines de la sortie de son single et de son clip, le perfectionniste qu'est Alain Marra reconnaît avoir «la trouille» mais nourrit plein d'espoirs. «Je ne crois pas au hasard mais au destin. La chance, il faut la provoquer. Mon père, accordéoniste hors pair, a passé sa vie à dire qu'il aurait dû figurer sur une affiche de l'Olympia. Mais il n'a jamais rien fait dans ce sens.»
Il conclut «Quand on a du talent, dans la vie, il faut y croire. A la longue, les autres finissent par y croire avec nous.» / FLV
Son site: www.myspace.com/alainmarra
L'Express (07-02-2009)
Chanson - Alain Marra décroche un contrat à Cannes
De la grand-messe du disque cannoise, il est revenu avec un contrat en poche. Alain Marra, qui habite à Peseux, vient également de sortir un CD sur le point de gagner les bacs de certains disquaires.
Il en rêvait, il l’a fait et il est revenu comblé. Chanteur en pleine ascension résidant à Peseux, Alain Marra s’est envolé, fin janvier,
pour la Côte-d’Azur. où il a assisté à l’édition 2009 du Marché international du disque et de l’édition musicale (Midem). De ce pendant musical du Festival de Cannes, il est revenu contrat en main.
Dancing City Entertainment, qui a notamment produit Snoop Dogg et Daft
Punk, a flashé sur ma voix et mon style», s’enthousiasme le chanteur au penchant swing crooner. «Nous devons débuter l’enregistrement d’un album d’ici la fin du mois.»
Un bonheur arrivant rarement seul, Alain Marra vient parallèlement de sortir son premier single. Intitulé «Que tu sois», il comprend un titre
éponyme ainsi que deux autres morceaux: «Que Dieu me pardonne» et «J’suis fou oh never mind». Ce CD a été coproduit par Philippe Mercier et arrangé par Laurent Poget. Une dizaine de musiciens
ont participé à sa réalisation.
Ravi, le chanteur neuchâtelois annonce que plusieurs radios, dont Radio Swiss Jazz, Radio Swiss Pop, RadioJazz et RSI, se sont engagées
à diffuser ces titres sur leurs ondes. Mieux encore, le CD sera disponible dans certains bacs dès la fin du mois.
«Notamment grâce au contrat que j’ai décroché au Midem, Vinyl disques, à Neuchâtel, a décidé de vendre mon single.» Peut-être le début de la reconnaissance pour cet ancien pianiste de bar qui, sans la moindre partition, joue pas moins de 350 morceaux et interprète plus d’un millier de chansons.
/FLV
L'Hebdo (10-07-2008)
Mon nouveau titre DIS-MOI sorti en novembre 2014.
https://www.youtube.com/watch?v=uC5UTK_06fI&feature=youtu.be
Merci de me dire ce que tu en penses.
Cordialement.
Betty Chrys