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KING DADDY YOD Dancehall
KING DADDY YOD
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KING DADDY YOD



Nom : STENARD

Pseudo : KING DADDY YOD

Prénom : Saint-Felix

Nationalité : Dancehall, Raggamuffin





IL ETAIT UNE FOIS...

Daddy Yod est une des figures emblématiques du raggamurphing et de la dancehall franco-kreyol des 80?s et 90?s. Né Félix Sténard, en Guadeloupe, mais parisien depuis l?âge de neuf ans, Il fait ses armes, dès 1985, à l?intérieur de la Youthman Unity Academy qui compte, entre autres, dans ses rangs Pablo Master, Supa John, General Murphy,Mickey Mosman,Abidjah?

Influencé par Bob Marley, bien sûr, Ibo Simon dès son enfance, mais également par le bad deejay King Yellowman, il participe à la désormais historique « Rapattitutdes ».Son premier maxi en 1987 « Elle nest pas prete» cartonne en Guyane; puis il sort son premier album « Redoutable » à la fin des années 90-91.

Dans la même lancée,Il sort son album « King Daddy Yod » en 1991. « Faut pas taper la doudou » est également un succès aux Antilles.

Suivront « L?incorruptible » en 1993 et « Le Contrat » en 1997.

Il faut dire que c?est pas moins de six albums que Daddy Yod a sortis depuis qu?il a débuté dans le reggae music. Son dernier « Live Show », chez Mélodie en 2001, avait été attendu 4 ans.

Ses plus gros succès avec des titres comme « Delbor », « Faut taper la doudou »,« Rock en zonzon » ,« je ne veux pas aller à l'armée »,« Doubout », et « Professionnel ou amateur ».

Après avoir sorti de nouveaux titres sur la compilation KDY, Radio sound system où il pose sur le bagdad riddim, le fiesta riddim, le salsa riddim, le bad company, le sexy lady riddim et l'excellent delbor riddim.

Il a sorti en 2006 un BRAND NEW album FRAICHE distribué par Method record, avec notamment une nouvelle version de DELBOR, DELBOR 2006 en combinaison avec FLYA, JAMADOM, TIWONY, RAGGA RANKS et que de titres inédits

En Septembre 2007 King Daddy Yod arrive avec un nouvel Album "IL ETAIT UNE FOIS... " réalisé et produit par l'entreprise KDY.

Vous y retrouverez des featurings avec Princess Erika,Mad Killa, Leevayah B,Full Style... Dj Almoos et Dj majix ont également collaboré à ce projet. A la composition le king a tenu à apporter sa touche personnelle, encadré de Naya,Elssy et Majix.



one love

jah bless... KING DADDY YOD





Attention: A découvrir très bientôtle nouveau single:« Koupé kann »

KING DADDY YOD & PRINCESS ERIKA



Extrait du nouvel album : « Il était une fois? »

(Sortie prévue : Septembre 2007)



www.daddyyod.com et http://www.myspace.com/kingdaddyyod



Historique par la presse



Daddy Yod s?est mis à toaster au début des années 80 alors que peu de gens défendaient cette musique. Il crée avec Pablo Master, Supa John et Mickey Mossman un sound désormais mythique : Youtman Unity

En 1987, son premier single «Elle n?est pas prête» résonne comme un coup de semonce dans le monde du reggae parisien. Yod enchaîne sur le tître «Rock en zonzon» pour la compil? initiatrice «Rapatitude» et pose les bases de ses fondations avec son (très bien nommé) «Redoutable». Le premier hit tiré de ce disque, «Faut pas taper la doudou», lui permet d?augmenter sa popularité en métropole, comme aux Antilles. Son deuxième opus «King» («Professionnel ou amateur»), le voit poser avec le maillot jaune du vainqueur du tour de France. En 93, son troisième effort «L?incorruptible» enfonce le clou avec des rythmiques signées entre autres par Sly & Robbie. Deux années plus tard, King Daddy enregistre pour Mercury «Le Survivant».



Gilbert PYTEL (Groove)







Ce «Survivant», quatrième disque de Daddy, installe le tchatcheur inflexible, comme une valeur béton du raggamuffin (...) et confirme l?avancée du «Yod», à l?évidence plus bosseur, exigeant et subtil que naguère.»



Bouziane DAOUDI (Libération)







En 97, Daddy Yod nous revient avec un cinquième album, »Le Contrat», qui rassemble les puristes du genre et les nouveaux venus (...), notre homme reste à l?aise en solo et chacune des plages de ce nouveau disque rappelle que Daddy Yod garde sa couronne de King bien calée sur la tête.»



Gilbert PYTEL (Groove)







«Le Contrat», ça, c?est le gai ragga d?ici. Une musique agile, acrobatique, véloce, bavarde et jubilatoire. Honneur au vétéran : Daddy Yod fut l?un des premiers à introduire en France les sounds systems. Depuis, l?auteur de «Faut pas taper la doudou» est devenu le fer de lance du ragga franco-créole, à la force d?un gosier rauque aisément reconnaissable et d?une musique caoutchouteuse au service de textes à la sage bonhomie anti-raciste ou antidrogues.»



Philippe BARBOT (Télérama)







«Légende de l?underground reggae ragga à Paname, Daddy Yod a accumulé les titres de gloire... Sa présence sur scène déclenche le feu...»



Olivier CACHIN (L?Affiche)



Historique par la presse



Daddy Yod s?est mis à toaster au début des années 80 alors que peu de gens défendaient cette musique. Il crée avec Pablo Master, Supa John et Mickey Mossman un sound désormais mythique : Youtman Unity

En 1987, son premier single «Elle n?est pas prête» résonne comme un coup de semonce dans le monde du reggae parisien. Yod enchaîne sur le tître «Rock en zonzon» pour la compil? initiatrice «Rapatitude» et pose les bases de ses fondations avec son (très bien nommé) «Redoutable». Le premier hit tiré de ce disque, «Faut pas taper la doudou», lui permet d?augmenter sa popularité en métropole, comme aux Antilles. Son deuxième opus «King» («Professionnel ou amateur»), le voit poser avec le maillot jaune du vainqueur du tour de France. En 93, son troisième effort «L?incorruptible» enfonce le clou avec des rythmiques signées entre autres par Sly & Robbie. Deux années plus tard, King Daddy enregistre pour Mercury «Le Survivant».



Gilbert PYTEL (Groove)







Ce «Survivant», quatrième disque de Daddy, installe le tchatcheur inflexible, comme une valeur béton du raggamuffin (...) et confirme l?avancée du «Yod», à l?évidence plus bosseur, exigeant et subtil que naguère.»



Bouziane DAOUDI (Libération)







En 97, Daddy Yod nous revient avec un cinquième album, »Le Contrat», qui rassemble les puristes du genre et les nouveaux venus (...), notre homme reste à l?aise en solo et chacune des plages de ce nouveau disque rappelle que Daddy Yod garde sa couronne de King bien calée sur la tête.»



Gilbert PYTEL (Groove)







«Le Contrat», ça, c?est le gai ragga d?ici. Une musique agile, acrobatique, véloce, bavarde et jubilatoire. Honneur au vétéran : Daddy Yod fut l?un des premiers à introduire en France les sounds systems. Depuis, l?auteur de «Faut pas taper la doudou» est devenu le fer de lance du ragga franco-créole, à la force d?un gosier rauque aisément reconnaissable et d?une musique caoutchouteuse au service de textes à la sage bonhomie anti-raciste ou antidrogues.»



Philippe BARBOT (Télérama)







«Légende de l?underground reggae ragga à Paname, Daddy Yod a accumulé les titres de gloire... Sa présence sur scène déclenche le feu...»



Olivier CACHIN (L?Affiche)



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